Le triangle de KARPMAN
Il est important de repérer ce triangle et le rôle tenu dans les situations quotidiennes
Pour en sortir (ou du moins essayer), un peu de travail sur soi :
Sortir du rôle de persécuteur :
J’apprends à me laisser soutenir par la vie et par ceux qui m’entourent. Je cesse d’avoir peur des autres
Sortir du rôle de victime :
Je dis merci pour les bienfaits de chaque jour. Je reconnais ern moi le pouvoir de créer ma vie
Sortir du rôle de sauveur :
J’apprends à aimer ce que je suis, plutôt que ce que je fais. Je choisi de prendre soin de moi en premier
Ou être dans l’action vis-à-vis de l’interlocuteur :
Face à une victime
Si une personne se plaint et se victimise sans arrêt, alors il y a deux façons de réagir :
- Continuez comme si vous n’aviez rien entendu.
- répondre avec une remarque légèrement satirique pour faire prendre conscience du ridicule de la plainte.
Comment faire si la personne a vraiment besoin d’aide ?
- D’abord, elle doit explicitement demander de l’aide.
- Deuxièmement, l’aide doit avoir un objectif de retour à l’autonomie. Si pour vous, « aider » signifie « faire le travail à la place de », alors il y a un problème : vous êtes devenu un sauveur.
« Quand un homme a faim, mieux vaut lui apprendre à pêcher que de lui donner un poisson. » Confucius
Face à un sauveur
Si une personne insiste pour vous aider alors que vous n’avez rien demandé, refusez gentiment son aide. Il est fort probable que la personne se sente blessée, d’où l’importance d’y aller avec tact.
Face à un persécuteur
Face à un persécuteur, potentiellemnt deux solutions :
- Vous utilisez la technique de « oui-oui » qui est terriblement efficace, notamment lorsque vous sentez que votre interlocuteur ne cherche pas à prendre
- En revanche, vous n’avez pas toujours envie de dire oui-oui, surtout quand l’autre essaye délibérément de vous intimider. Dans ce cas, adoptez une attitude œil pour œil, dent pour dent. Si vous faites ce choix, vous ne pouvez pas y aller qu’à moitié. Il faut être vraiment prêt à se défendre.